« Un roman est comme un archet : la caisse du violon qui rend les sons, c'est l'âme du lecteur. »
Stendhal
Suivons-nous une charte de travail ?
Absolument ! La Maison Sauron suit un code déontologique qui garantit à sa clientèle confidentialité, transparence et travail exemplaire.
La Maison Sauron est une micro-entreprise spécialisée en bêta-lecture, relecture-correction et rédaction de textes, inscrite auprès de l'URSSAF Bretagne et donc au Répertoire des Entreprises et des Établissements. Nous sommes également enregistrés auprès de l'Association de Médiateurs Bretagne Ouest (AMBO), dans le cas de litiges non résolus à l'amiable. En outre, si vous n'avez eu aucun cookie à accepter ou refuser en accédant au présent site internet, c'est tout simplement parce que nous n'avons pas activé cette fonctionnalité.
Important : La Maison Sauron ne se substitue pas à une maison d'édition. Celles-ci disposent de leurs propres chartes graphiques et orthotypographiques, logiciels, outils de publicité et règles. Aussi, aucune mise en page définitive (création de sommaire ou d'index, numérotation des pages, etc.) ni diffusion marketing de votre œuvre ne vous sera proposée.
Pour en savoir davantage sur notre entreprise administrativement parlant, n'hésitez pas à consulter nos mentions légales. Pour en savoir plus sur les conditions d'accès à nos services ou sur ceux-ci, rendez-vous sur nos Conditions Générales de Vente. Nous vous rappelons que recourir à nos services vaut acceptation des CGV susmentionnées.
Confidentialité et secret professionnel
La Maison Sauron est soucieuse de la protection de vos données personnelles. C'est la raison pour laquelle nous explicitons ci-contre les informations que nous vous demandons lorsque vous souhaitez nous contacter, ainsi que la manière dont nous les utilisons.
En effet, ces données ne sont utilisées que pour analyser votre demande, déterminer le tarif de la prestation choisie et établir les devis et factures correspondantes. Rien d'autre.
De plus, après l'émission du devis, il est possible que vous souhaitiez ne pas conclure cet accord avec nous. Dans ce cas, ou si le devis arrive à expiration,
tous les documents que vous nous aurez transmis seront détruits de notre côté. Si vous souhaitiez nous répondre favorablement mais que le temps ou vos disponibilités vous ont fait défaut, un nouveau devis vous sera remis et il vous faudra nous renvoyer les documents.
À tout moment, vous pouvez exprimer le souhait de garder secrète la nature de nos échanges ou de notre collaboration, que celle-ci soit passée, actuelle ou future. Si vous nous en faites expressément la demande, votre ouvrage ne sera pas (ou plus) mentionné sur notre
page d'accueil et ne trouvera (ou conservera) pas sa place dans notre galerie des
réalisations. Dans le cas contraire, nous nous permettrons d'en faire la promotion sur lesdites pages.
Si vous craignez que ce site internet ne disparaisse du jour au lendemain – ou que nous ne partions vers l'infini et l'au-delà avec votre œuvre –, vous pouvez d'ores et déjà télécharger notre lettre d'engagement ci-dessous. Rédigée de notre propre initiative, elle formalise noir sur blanc notre respect envers vous, votre confidentialité et vos écrits ou projets d'écriture.
Nous appliquons en outre notre propre charte orthotypographique, qui inclut notamment :
La réforme de l'orthographe de 1990, mais avec parcimonie
Cela signifie que nous conservons des graphies différentes qui permettent de différencier deux entités distinctes, mais que nous acceptons différentes graphies désignant la même entité lorsque cela est logique.
- Par exemple, une clef (outil permettant d’ouvrir une porte) sera toujours différente d’une clé (outil permettant de stocker des informations sur un support de petite taille via USB) ;
- Toutefois, le mot événement étant prononcé « évènement », ces deux façons d'écrire ce mot sont acceptées depuis cette réforme de l'orthographe. Cela étant dit, nous préfèrerons la dernière puisqu'elle suit l'usage oral ;
- De plus, certains mots ont subi une simplification que nous jugeons inutile, voire absurde. C'est par exemple le cas du mot porte-monnaie qui peut désormais s'écrire portemonnaie. On peut également dire qu'on jouait de la flûte, mais qu'aujourd'hui, la flute cherche à s'imposer. Dans pareils cas, nous préfèrerons généralement utiliser la première forme, tant du point de vue de la cohérence linguistique que pour l'approche visuelle.
Nous avons donc fait le choix de vous offrir non seulement un texte épuré de leurs erreurs, mais en outre qui soit agréable à lire. En effet, nous trouvons dommage et dommageable de supprimer des accents circonflexes qui, s'ils pouvaient ne plus avoir une réelle utilité linguistique à notre époque (comme dans maître ou boîte), ils habillaient visuellement votre texte. Avec La Maison Sauron, votre œuvre restera habillée et élégante.
L’écriture inclusive simple, si votre texte s'y prête et avec votre accord
Vous pouvez tout à fait refuser l'application d'un ou de plusieurs points évoqués ci-dessous : c'est votre texte, après tout. Par écriture inclusive simple, nous entendons :
- L'utilisation du point médian si applicable (uniquement si la terminaison des mots l'y autorise) :
« Êtes-vous prêt·e à rire ? » ;
« Vous êtes un·e expert·e, peut-être ? » ;
- L'utilisation, si le point médian est inadapté, des deux genres (le doublement traditionnel) :
« Celles et ceux qui… » ;
« Toutes et tous ont trop souffert ! » ;
- L'utilisation de termes épicènes en cas de doubles genres trop nombreux :
« Les amateurs et amatrices deviennent des adeptes » ;
« Les opposants et les opposantes sont en fait… des adversaires ! » ;
- L'utilisation d'une règle
antérieure
aux débats actuels sur l'inclusivité, à savoir la « règle de proximité ». Elle consiste à accorder
en genre le
dernier sujet
avant le verbe, tel que :
« Les roses (une rose) et les galets (un galet) sont beaux ! » ;
mais
« Les galets (un galet) et les roses (une rose) sont belles ! ».
Note
: Les autres termes et pronoms inclusifs plus avancés ou rares, tels que « ellui » pour « elle ou lui », « lea » pour « le ou la », ou encore « celleux » pour « celles et ceux »... ne seront
pas employés. En effet, l'écriture inclusive telle qu'elle est débattue aujourd'hui n'est ni communément acceptée, ni n'a de forme définitive. De plus, l'implication d'une modification profonde de notre belle langue est encore loin de faire l'unanimité, nous attendrons donc de voir émerger une réelle tendance.